Régis Labeaume se dit «très inquiet de la réorganisation des services de santé mentale» dans la capitale, notamment de la fermeture annoncée de l’urgence psychiatrique de l’hôpital du Saint-Sacrement. Le maire demande au gouvernement québécois de ne pas réduire l’offre de soins, plutôt d’injecter des fonds pour récupérer les âmes perdues. Une question de sécurité publique.