
La soprano Hélène Guilmette joue pleinement le désespoir et la perte d’appétit de vivre. Nos yeux ne la quitte pas, pendant qu’elle arpente pieds nus la chambre élégante évoquée par quelques meubles. Les instruments de l’orchestre se fondent en une seule voix, précise, évocatrice et en même temps, énigmatique.