Assis sur des chaises sur scène, les membres de la horde en noir deviennent des spectateurs attentifs à certains moments du spectacle. (Le Soleil, Patrice Laroche/Le Soleil, Patrice Laroche)
CRITIQUE / On reçoit «P.artition B.lanche» comme un film en Super-8, où l’on reconnaît des corps et des mouvements familiers, à travers des segments abîmés entourés de mystère. Les images se déposent, on sait que plusieurs resteront, resurgiront à un moment inattendu, et que d’autres se sont déjà évanouies, comme des ombres.