Louis Fortier, directeur scientifique du réseau ArcticNet et membre du comité organisateur de la conférence, constate «une explosion» de l’intérêt pour le Nord, même provenant des pays non arctiques. (Photothèque Le Soleil/Photothèque Le Soleil)
Les Chinois se construisent des brise-glaces, les Coréens et les Australiens aussi. Entre opportunité économique et «sirène d’alarme» sur le réchauffement de la planète, l’Arctique vit un véritable boum de recherche.