C’est une des données qui ressort d’une enquête sans précédent menée à l’UL par une équipe de chercheurs indépendants et dévoilée mardi matin devant les médias.
« Nous invitons l’Université Laval à réfléchir à la mise en place d’une politique spécifique aux violences à caractère sexuel», a fait valoir Isabelle Auclair, coauteure de l’étude.
Le vice-recteur aux affaires étudiantes de l’UL, Robert Beauregard, devrait réagir plus tard dans la journée.
L’enquête révèle entre autres que 57 % des violences auraient eu lieu dans des fêtes ou activités sociales (excluant les initiations), et 37 % se seraient déroulées dans un contexte d’étude.
Les initiations seraient le lieu associé à 19 % des cas de violence rapportés.
Les étudiantes sont plus nombreuses que les étudiants à avoir vécu de la violence en milieu universitaire. Selon le rapport, 47 % des femmes en ont subi et 30 % des hommes.
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