La majorité canadienne-anglaise devrait reconnaître que c'est de la minorité québécoise qu'est née la poutine, estime le chercheur Nicolas Fabien-Ouellet.
De plat mal aimé utilisé pour stigmatiser les Québécois, la poutine a fait son chemin jusqu'à la Maison-Blanche, où l'ex-président américain Barack Obama en a dégusté une version modifiée avec le premier ministre Justin Trudeau en mars 2016.