Violences sexuelles : le b.a.-ba du témoin actif

Plusieurs études l'ont prouvé, dans un bar où il y a beaucoup de monde, les témoins de harcèlement ou de comportements déplacés vont se déresponsabiliser par rapport à la situation.

L'Université Laval a commencé il y a quelques semaines à former des témoins actifs, appelés à intervenir subtilement s'ils voient des comportements qui pourraient dégénérer en agression sexuelle. Pendant trois heures, ces étudiants apprennent la notion de consentement éclairé et les différentes interventions qu'ils pourraient être appelés à faire lors de soirées bien arrosées.