Au lieu de ramener la neige au milieu des trois voies lors de grosses accumulations, les charrues la poussent toujours sur les côtés, mais à basse vitesse, autour de 30 kilomètres/heure. Un souffleur et un camion-benne circulent ensuite à la queue leu leu pour ramasser la neige souillée, évitant la fermeture de voies tel que prévu initialement.
L'opération de ramassage, qui se répète dans les deux directions, est toujours réalisée en dehors des heures de pointe pour affecter le moins possible la circulation, souligne Guillaume Paradis, porte-parole du MTQ.
Tel que convenu avec le CN, propriétaire du pont de Québec, les sels de déglaçage sont également traités avec du chlorure de magnésium et un inhibiteur de corrosion pour plus d'adhérence sur la chaussée et moins d'effet sur le métal.