
Trois fugues par jour dans la capitale
Ils s'appellent Daphnée, Marc-Antoine ou Mélissa. Pas une semaine ne passe sans que la police demande l'aide de la population pour retrouver des mineurs en fugue. À elle seule, la police de Québec en compte plus de 1000 annuellement. De quoi tenir occupé tout un service d'enquête.